Le Scandale du Siècle
« Les vérités scientifiques finissent toujours par s’imposer, parce que la vérité ne triomphe jamais, mais ses ennemis finissent par mourir. »(Max Planck, Prix Nobel de physique 1918)
Voici les volumes 1 et 2 du film “ le scandale du siècle ” Avec le Dr André Gernez et réalisé par Jean-Yves Bilien. Un film à ne pas manquer.
Après plus de 30 ans de silence, ce documentaire nous révèle un secret d’état. On y découvre que les responsables de la santé publique en France font passer les préoccupations économiques bien avant les impératifs médicaux. Ce n'est pas un scoop bien sur, mais à ce niveau là, ne devraient-ils pas rendre des comptes ? Ainsi le Dr André Gernez a vu les résultats de ses travaux étouffés juste avant leurs applications publiques par 4500 médecins préparés à suivre sa méthode. Seul bémol d’importance : les découvertes du Dr André Gernez permettraient de contrôler, de réguler voire d’éradiquer à des taux proches de 100% : le cancer, la sclérose en plaque, la schizophrénie, certaines myopathies, l’asthme, les allergies, la maladie de Parkinson et d’Alzheimer …
Alors, pourquoi un tel refus de la part de nos dirigeants ?
Pour satisfaire aux pressions des lobbies pharmaceutiques, pour préserver l’équilibre budgétaire de nos hôpitaux et cliniques, pour ne pas déclencher un déséquilibre des régimes de retraites avec l’allongement de la durée de vie … C’est dingue … certes … mais ce dossier semble plus que crédible et étayé. Par ailleurs, il donne aux campagnes annuelles du Téléthon une drôle de saveur, entre mensonge et corruption. Pour conclure, bien que reconnue efficace depuis plusieurs années, la procédure préventive proposée par le Dr André Gernez est, aujourd’hui encore, absente de nos politiques de santé publique.
André Gernez est le père de la théorie des cellules souches, il révise dans les années soixante le dogme du double cycle cellulaire et de la fixité neuronale. Le Docteur Gernez est en mesure de contrôler le cancer, l’athéromatose, la sclérose en plaques, la schizophrénie, la myopathie de Duchenne, l’asthme et l’allergie, le psoriasis, le parkinson, l'Alzheimer.
Aussi variées et complexes qu’apparaissent les diverses manifestations des pathologies dégénératives, elles sont contrôlables et réductibles par la même procédure, qui consiste à conformer la sécrétion de l’hormone de croissance à un niveau souhaité.
Fin des années 60, le Docteur Gernez crée son groupe de Biologie : UBI (Union Biologique Internationale). Ses collaborateurs sont : Pr Gellé, Dr Delahousse, Pr Nihous, Dr J. Lacaze, Dr J.P Willem, Dr M. Dumont, Dr Deston.
Fin des années 60, le Docteur Gernez crée son groupe de Biologie : UBI (Union Biologique Internationale). Ses collaborateurs sont : Pr Gellé, Dr Delahousse, Pr Nihous, Dr J. Lacaze, Dr J.P Willem, Dr M. Dumont, Dr Deston.
À partir de 1967 André Gernez révolutionne des principes fondamentaux de la biologie. 23 décembre 1971 : les Américains lancent le plan anti-cancer. Le conseiller du Président Nixon, John Rooney, annonce à toute la presse qu’en 1976, date du bicentenaire de l’indépendance, la victoire sur le cancer serait totale. Fanfaronnade électorale ? Non. Cette déclaration s’appuyait sur les découvertes du docteur André Gernez, médecin français cancérologue et physio pathologiste. Grâce à une prévention active, une étude INSERM démontra dès 1971 que le cancer pouvait être évité dans 93% des cas.
Aujourd’hui en 2010, quarante ans plus tard, la plupart de ses théories sont reconnues au niveau mondial, sans que jamais son nom ne soit cité.
André Gernez est ancien médecin-chef à l’hôpital de Roubaix, docteur en médecine, cancérologue, radiologue et physiologiste. André Gernez fut un chercheur isolé, son parcours universitaire est impressionnant : bachelier à 15 ans, docteur en médecine à 22 ans, il fut le plus jeune médecin de France. Après son service militaire effectué en pleine guerre mondiale, il fit des stages dans les quatre instituts de recherche sur le cancer les plus prestigieux.
C’est ainsi qu’il fut admis comme assistant à la fondation Curie en 1944. Ses travaux en biologie et cancérologie l’amènent à poser des postulats nouveaux. En 1966 il revisite le principe fondamental de la biologie cellulaire. En 1971 une étude de l’INSERM confirme sa théorie de prévention Active du cancer et démontre que le cancer peut être évité dans 93% des cas. En 1979 il reçoit le prix Hans Adalbert Schweigart pour sa découverte sur « la théorie unifiée du cancer », le jury est composé de 40 prix Nobel.
Les recherches et les exceptionnelles découvertes du docteur Gernez débouchent en 1970, sous la pression d’universitaires de renom, (Présidents de l’académie de médecine et des sciences, du professeur Policard, biologiste prestigieux), à l’expérimentation à L’INSERM de tous ses travaux sur des rats chez qui on a greffé un cancer du foie, en appliquant la stratégie, 93% des rongeurs verront disparaître leur hépatome.
Sur le plan scientifique, la cause est entendue, cette découverte médicale est la plus sensationnelle.
Le docteur André Gernez a situé le véritable problème, dans le respect du grand principe de l’homéostasie découvert par Claude Bernard, celle de la compétition entre cellules saines et viciées, ou cancéreuses. Il en a déduit une méthode de prévention tellement simple que cela déroute et semble être une espèce de défi aux cerveaux avides de complexité qui voient dans cette dernière le signe infaillible et nécessaire de la plus haute science.
Rappelons que les défenses immunitaires de notre organisme peuvent parfois dépasser leur objectif et ainsi devenir nuisibles. Cependant, dans 99% des cas, toutes ces réactions de défense sont essentiellement favorables à l’organisme. La carcinogénèse rentre dans le cadre de ces réactions de défense.
Elle ne devient pathogène que lorsqu’elle dépasse son objectif premier.
Le docteur André Gernez présenta ses travaux à l’Académie des Sciences. Il dévoila le mécanisme de la cancérisation. Tout simplement, ce très jeune médecin résolvait toutes les énigmes et proposait une méthode préventive capable d’enrayer le cancer dès son début, sans attendre le “ dépistage précoce ”.
Il complétait en outre sa démonstration en décrivant la stratégie à observer pour détruire le cancer évolué et qui, depuis lors, trouvait sa confirmation par l’application à des cas désespérés. (Presse Médicale du 24 juin 1972)
L’incroyable est arrivé : la solution du problème du cancer, stupéfiante par son caractère total et inattendu, est reconnue par les autorités scientifiques les plus élevées.
L’invraisemblable suit l’incroyable … Le sens commun voudrait que tout progrès susceptible d’être utilisé contre un fléau qui tue un Français toutes les 4 minutes soit diffusé et exploité dans l’urgence la plus extrême. Il n’en est rien. Pendant des années, pas un seul mot sur la très grande découverte reconnue dès 1968 par le Président de l’Académie des Sciences et qui devait aboutir.
En 1971, le professeur Paul Gellé, Président de l’Ordre des médecins du Nord de la France et Professeur à la faculté de Lille, lança un appel qui fut publié dans une dizaine de journaux.
Le voici :
“ Le caractère solennel de cet appel est nécessité par la nature grave de la matière. Il s’agit du cancer.
Le voici :
“ Le caractère solennel de cet appel est nécessité par la nature grave de la matière. Il s’agit du cancer.
Parmi les auditeurs adultes qui m’écoutent, et qui mourront dans l’année à venir, 38% d’entre eux en seront la victime. Il n’est pas question d’un traitement curatif, mais uniquement d’une prévention de ce fléau. Elle est actuellement basée sur des propositions qui ont été jugées, contrôlées et expérimentées sur des animaux depuis plusieurs années. De sorte que toute attitude dilatoire retire toute chance à la fraction de population qui entre dans l’âge de vulnérabilité.
Il ne s’agit pas de proposer ou de défendre une thèse, mais de rompre un silence volontairement érigé, concerté et maintenu, sans aucune justification d’ordre éthique, et ce, en dépit de toutes les tentatives.
En conclusion le public ne peut plus s’attendre à un cheminement naturel, traditionnel, auquel ces propositions ont déjà été soumises.
Il s’agit d’un S.O.S., d’un sauve qui peut pour la fraction de la population en danger imminent.
Le Président du Conseil de l’Ordre, conscient de la rigueur des exposés, au courant des multiples témoignages émanant des plus hautes autorités en la matière qui en reconnaissent la valeur, a considéré qu’il était de son devoir de donner son concours et sa garantie morale à une action entreprise en vue de la protection de la santé; c’est du reste une obligation qui lui est imposée par l’article 47 du code de Déontologie.
Chacun, maintenant, doit prendre les responsabilités qu’il croit pouvoir assumer et les moyens d’action qu’il pense à sa portée sans compter sur l’action du voisin qui risquerait fort d’adopter la même attitude. “
La diffusion télé sera empêchée, seule la publication dans la presse aura lieu.
Le 17 juin 1979, le Docteur Gernez reçoit donc à Salzbourg en Autriche, la médaille Hans Adalbert Schweigart pour ses travaux sur la théorie unifiée du cancer.
Voici l’allocution :
“ Monsieur le Docteur André Gernez,
Nous avons l’honneur de vous remettre aujourd’hui, le 17 Juin 1979, à Salzburg, ville où fut fondée l’union mondiale pour la protection de la vie, la médaille Hans Adalbert Schweigart, parce que vous travaillez dans le même esprit.
Vous étiez jeune médecin - le plus jeune de France - quand vous avez commencé vos recherches en 1947 en Suède puis au États-Unis.
Vous avez fait une découverte fondamentale sur la division cellulaire, qui expliquait la stabilité de la masse cellulaire des organes.
Vous avez ensuite prouvé que chaque cellule cancéreuse donnait naissance à deux cellules génératrices, éclairant ainsi la classique courbe de prolifération exponentielle du cancer (Collins).
Puis vous avez démontré la possibilité d’arrêter la cancérisation avant sa traduction clinique, posant ainsi les bases d’une prophylaxie active.
Vous avez ensuite proposé une méthode curative, dite systématique post-opératoire synchronisée, dont l’application à entraîné immédiatement une chute de la mortalité par cancer, dans votre pays en 1977 et dans le monde ainsi que le constatait le président du Congrès international sur le cancer de Buenos Aires en 1978.
Enfin, les contreforts biologiques nécessaires pour les cancers rebelles viennent de faire la preuve de leur efficacité.
Vous avez, dès 1978, présenté vos propositions en quatre volumes aux plus hautes autorités académiques.
Vos méthodes se généralisent actuellement. Il y a 100 ans, votre pays nous apportait, avec Pasteur, les fondements de l’élimination des maladies infectieuses. Il nous apporte aujourd’hui, par vous, les fondements de l’élimination des maladies dégénératives. Nous lui en exprimons notre admirative reconnaissance.
Nous sommes fiers, cher et honoré Docteur Gernez, de vous remettre la médaille H.A. Schweigart, en reconnaissance de l’importance exceptionnelle de vos travaux. “
(L’Union Mondiale pour la Protection de la Vie était une institution internationale. Elle était dotée d’un conseil scientifique groupant 400 savants de 53 pays, dont 40 prix Nobel. Son président d’honneur était le professeur Linus Pauling (Prix Nobel de Chimie et Prix Nobel de la Paix). Et son président le professeur Gunther Schwab.)
Un clan aussi réduit que puissant décide le silence. L’appel du Président de l’Ordre des médecins est étouffé. Une pression est exercée à tous les niveaux de l’information pour cacher une révolution scientifique aussi inattendue que gênante.
Simplement, bien des choses changent qui restent inconnues du public :
- Des reconversions sont pratiquées (quotidien du médecin 2/4/71),
- Des objectifs de recherche sont modifiés,
- Des positions scientifiques sont discrètement quittées sur la pointe des pieds,
- Des contrôles expérimentaux sont effectués, dont les résultats sont restés sans diffusions.
Trop d’intérêts étaient en jeu.
Il n’y aura pas de mise en œuvre pratique des données définies par le docteur Gernez.
Le ministre de la santé, Michel Poniatowski, requiert de ses services de les rendre publiques. Le Pr J. Ripoche, en charge du dossier, demande que soient révélés les résultats des expérimentations réalisées à l’INSERM de 1969 à 1972, dans le secret, à l’institut de toxicologie de l’université de Paris.
À cet effet, il organise le 13 décembre 1974, à son domicile, une entrevue avec la Direction générale de la santé publique et le chargé de la pharmacovigilance, le Pr Lechat.
L’épilogue de cette réunion est pour le moins surréaliste. La décision est prise de ne pas rendre publiques les résultats de l’INSERM et de ne pas mettre en place le protocole de prévention Active de Gernez … La raison invoquée par le directeur général de la santé publique est qu’une application généralisée de cette procédure préventive, en accroissant la longévité moyenne de sept années, rendrait insoluble le problème déjà aigu de l’hébergement des gens âgés dans les maisons de retraite, ainsi que celui du paiement des retraites !!!!!!!
Si la méthode avait été adoptée, elle aurait abouti à une large éradication du cancer. Un effondrement du nombre de cancers aurait provoqué un effondrement du taux de remplissage des cliniques et des hôpitaux et donc beaucoup ne seraient plus rentables. D’autant que Gernez montrait que sa méthode avait également une action préventive sur l’athérome (infarctus du myocarde).
Et oui vous avez bien lu …
Seul, Alain Poher, président de la République par intérim en 1974 et président du Sénat, persiste. Il reçoit le docteur Gernez et le docteur Delahousse à cinq reprises en deux mois à l’Élysée, convaincu de mener le dossier à son terme en franchissant un simple obstacle. M. Poher prend conscience au fil des semaines qu’il constitue un “ Everest ” insurmontable en France.
En 1990, le docteur Gernez demande sa radiation de l’Ordre des médecins. Sa requête prendra effet en 1991. Jusqu’en janvier 2007, André Gernez n’a jamais cessé de travailler : il poursuit ses réflexions et continue d’écrire aux différentes autorités réputées compétentes.
Le poids financier de l’industrie pharmaceutique pèse tellement que l’économie des grands pays n’y résisterait pas : États-Unis, France, Allemagne confondus.
Le cancer n’est pas seulement la maladie du siècle, il est aussi le scandale du siècle.
Toute une industrie puissante se nourrit du cancer et une autre faisant le jeu de la première provoque, propage le cancer (tabac, alcool, produits chimiques … )
Le long de la vidéo, il est accompagné du Dr PIERRE DELAHOUSSE (Lauréat de l’Académie de médecine) et le Docteur Jean-Pierre WILLEM (Chirurgien et anthropologue, il a parcouru la planète pendant plus de 40 ans. Il crée en 1986 la Faculté libre de Médecine Naturelle et d’Ethnomédecine et l’association humanitaire « Médecins aux pieds nus » et Auteur de « Prévenir et vaincre le cancer »).
Source :
Le site union biologique international sur une partie des travaux d'André Gernez : http://u.b.i.free.fr
Jean-Yves Bilien est documentariste spécialisé dans les films documentaires d’investigation dans le domaine de la santé. Co-organisateur du Colloque « le savoir-vivre » en septembre 2006.
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