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lundi 6 janvier 2014

La Vision d'un Norvégien le 11 décembre 1952 à Bergen


La vision d’un Norvégien le 11 décembre 1952 à Bergen


« Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. » 1 Thessaloniciens. 4:7

« Ce qui suit m’a été révélé le matin du 11 décembre 1952 à Bergen (Norvège), alors que je lisais une brochure, et que j’étais loin de penser à l’Enlèvement de l’Église. Je me sentis poussé à l’écrire, car cette vision m’avait bouleversé, mais cependant, des doutes subsistaient en moi. Je dis à Dieu: « Je ne puis me souvenir de tout. Si Tu veux que je l’écrive, donne-moi encore une fois cette révélation ». Après quelques semaines, « elle » vint à nouveau. Il était dix heures du soir, et ce fut comme si quelqu’un s’asseyait à mes côtés pour lire un rapport dans un journal. De suite, je pris un crayon et un cahier, et je me mis à écrire sans discontinuer jusqu’à près d’une heure du matin.

Arrivé là, n’en pouvant plus, car j’avais alors 79 ans, je priai Le Seigneur Lui demandant de pouvoir me reposer. Je lui proposai de bien vouloir me donner la suite le jour suivant, si toutefois Il avait davantage à me montrer. Je m’étendis sur mon lit et m’endormis aussitôt. Une semaine plus tard, également à 22 heures, je reçus à nouveau cette vision. En fait, c’était une continuation de la précédente. Elle commençait exactement à l’endroit où nous nous étions arrêtés la dernière fois. Je souhaite que ces quelques lignes servent au réveil des âmes.

Il est 9 heures du matin, madame Andersen, assise devant le poste de radio, écoute « L’Heure des enfants ». Elle trouve le programme à son goût aujourd’hui. Cette émission mélange un peu de religion à son programme, juste ce qu’il faut afin de ne rien exagérer. Alors que l’émission se poursuit depuis 4 ou 5 minutes, celle-ci s’interrompt subitement. Une nouvelle sensationnelle : Oslo, la capitale, est dans une horrible panique : la police communique qu’un événement inexplicable vient de se produire. Un grand nombre d’enfants et d’adultes ont disparu sans laisser aucune trace. On ne sait pas encore le nombre de disparus; il est si grand que les autorités sont impuissantes pour entreprendre des recherches. Elles demandent aux familles touchées par cet événement de fournir des informations détaillées sur le lieu et l’heure des disparitions, car cela est indispensable pour faire face à la situation et en éclaircir les causes; quelques vendeurs avaient disparu alors qu’ils exerçaient leur travail. Une dame qui achetait des fleurs vit le fleuriste qui cherchait la monnaie à lui rendre, disparaître subitement. Elle entendit bien qu’il disait : « Merci Jésus », mais elle ne le vit plus. Elle se frotta les yeux, car il lui semblait avoir du brouillard devant elle, mais l’homme n’était plus là, et le brouillard avait également disparu. Une jeune femme hurlait à faire frissonner jusqu’à la moelle des os. Elle cherchait dans une poussette vide, criant : « Quelqu’un a volé mon enfant : c’est un garçon de 8 mois. Où est-il ? Où est la police ? » La police était bien là, mais que pouvait-elle faire ? De toutes parts on criait, et un grand tumulte se fit entendre. Un commerçant de forte taille sortit de son magasin en criant « Au secours ! » : deux de ses vendeuses venaient de disparaître de derrière l’étalage. Qu’était-ce donc que cela ? Stockholm annonçait aussi la disparition de beaucoup de personnes, et la ville était plongée dans la panique. On rapportait que même plusieurs gendarmes avaient disparu.

Maintenant, pareilles nouvelles arrivaient de Copenhague et d’Helsinki. Les informations parvenues de la campagne annonçaient de plus en plus de disparitions. Partout des enfants et des adultes manquaient. La police ne sut pas qu’entreprendre face à ce mystère. Madame Anderson se leva en soupirant : « Mon Dieu, mon Dieu ! Qu'est-ce que cela ? » Elle sortit de son jardin, et regardant dans la rue bordée de coquettes villas environnées de beaux jardins, elle vit accourir madame Holland qui, les mains en visière sur ses yeux criait : « Ruth ! Ruth ! » Lorsqu’elle aperçut madame Anderson, elle lui demanda : « As-tu vu passer un étranger par ici ? Ruth a disparu : elle était assise devant notre maison sur l’escalier pendant que je m’occupais des rosiers, et subitement elle a disparu ! Plus de trace d’elle ! Je l’appelais et criais : Ruth ! Mais personne ne répondit. J’avais l’impression que quelque chose s’était passé dans la rue, mais je suis toute troublée car je ne comprends plus rien. Ruth ! Où es-tu ? Qui l'a enlevée ? » Madame Holland pleurait dans son désespoir. Maintenant, c’est monsieur Anderson qui arrive. « Comment, tu viens déjà ? Ce n’est pourtant pas l’heure, il n’est que 9 heures 31 ! » lui dit sa femme. « Je n’ai plus envie de travailler, lui rétorque-t-il. Dans notre atelier, tout est en désordre, car beaucoup d’ouvriers ont disparu. On supposait d’abord que des accidents en étaient responsables, et nous avons fait des recherches, mais sans trouver la moindre trace d’eux. Alors, un homme qui fréquentait des réunions et qui se disait chrétien se mit à dire : « Maintenant c’est arrivé ! » Quoi, lui ai-je demandé ? « Jésus a enlevé les Siens » me dit-il en se tordant les mains. Il pleurait éperdument en continuant de dire : « Et moi je suis resté ici ! » Je le priai de cesser de dire des bêtises, mais il sanglotait de plus en plus, et c’était vraiment terrible de l’entendre. Certainement que d’autres se trouvent dans la même situation. Je pense qu’on devra faire des heures supplémentaires ce soir. »

En ville, la situation est plus mauvaise encore. Un embouteillage monstre s’était créé, car des conducteurs d’autobus et de voitures privées avaient été enlevés et beaucoup de passagers avaient disparu. Les tramways durent s’arrêter, bloqués comme les bus et les taxis, formant de longues files dans les rues. Parmi cet embouteillage, les voitures ayant encore des conducteurs cherchaient à se frayer un passage. Les gens étaient comme fous, courant çà et là en cherchant leurs disparus. La police était impuissante. Madame Holland rentra en pleurant, ainsi que monsieur et madame Anderson. Le poste de Bergen disait : « De tous côtés on annonce des personnes disparues. Toute la matinée, le téléphone a sonné. Les gens questionnent ou apportent leur témoignage. Sur mer, de nombreux bateaux annoncent des personnes disparues. À la maternité, tous les nouveau-nés ont disparu et les employées sont effrayées. Parmi les sœurs religieuses, quelques-unes manquent à l’appel. À l’asile des vieillards, plusieurs ont disparu. »

De Londres cette fois, à 11 heures, la radio communique que ce matin dès 9 heures, des nouvelles arrivaient subitement de toutes les parties de l’Angleterre annonçant la disparition d’une multitude d’enfants et d’adultes sans qu’ils aient laissé la moindre trace. Aucun n’a été retrouvé. C’est un grand mystère. Quelques pasteurs ont convoqué les membres de leur communauté, et ils ont découvert que les plus pieux, les plus fidèles dans la prière ont disparu. Une partie des pasteurs manque aussi.

L’évêque d’une grande église a convoqué le corps pastoral pour ce soir. Trois heures et demie se sont écoulées depuis le premier rapport venu d’Oslo, et d’autres rapports continuent d’affluer de tous les pays. La nouvelle la plus sensationnelle vient d’Extrême-Orient, de la Corée où l’on évalue le nombre de disparus à plusieurs centaines de milliers, parmi lesquels beaucoup de soldats. Les événements qui se succèdent sont impossibles à décrire au fur et à mesure. Tous sont profondément effrayés. Dans la rue, les gens cherchent désespérément les leurs, particulièrement les mères privées de leurs enfants. Par contre, plusieurs se moquent et maudissent aussi bien Dieu que les hommes. Un homme arrive en courant, criant : « Attention, attention, nous serons bientôt tous enlevés ». Il a probablement perdu la raison. Au coin d’une rue, les mains jointes et les yeux levés au ciel, une femme âgée dit : « O non ! Si nous ne nous sommes pas préparés à temps, maintenant plus personne ne sera enlevé. Seigneur Dieu, aie pitié ! Maintenant, c’est arrivé ! J’ai toujours été religieuse, mais je ne pensais pas qu’Il viendrait si tôt. Je ne pensais pas que ce serait aussi sérieux ! » La direction des chemins de fer communique qu’aucun accident ne s’est produit jusqu’ici. Seul un convoi est demeuré à Finse sans conducteur, ni contrôleur. L’ordre a été donné à tous les surveillants de chercher le long des voies les personnes qui auraient éventuellement sauté du train, car plusieurs voyageurs sont portés manquants.

Pareillement, des nouvelles venaient des bateaux faisant le service des côtes et des fjords. Les journaux du soir publiaient une manière d’explication, recommandant que tous restent calmes et raisonnables. La police et les autorités font tout leur possible pour publier un rapport sur le nombre de personnes disparues. Les savants, particulièrement les météorologues, travaillent à trouver le plus vite possible la cause de ce phénomène extraordinaire. On vient d’apprendre des États-Unis que les rapports commencent d’affluer à la police. Les nouvelles sont pareilles à celles de Norvège. D’énormes difficultés de circulation eurent lieu et l’on déplore la perte de vies humaines. Les journaux annoncent pour le lendemain un aperçu plus complet de ce qui est arrivé dans les différents États. Vingt heures. Il ressort des nouvelles parvenues du monde entier que tous ont été surpris de la même manière par cette catastrophe. Les rapports sur le nombre des disparus arrivent principalement des villes, mais aussi des campagnes.

Dans l’hémisphère sud, pareilles choses se sont produites. Une terrible inquiétude règne partout. Les gens n’osent pas se coucher, et l’on discute jusqu’à l’hystérie dans les rues sur ce qui s’est passé. De plus en plus, la conclusion est que tout cela se trouve en rapport avec les chrétiens et le christianisme. Ceux qui ont connu les disparus disent, en accord avec la parenté, que ceux-ci étaient exclusivement des chrétiens fanatiques et d’innocents enfants. Un ouvrier de brasserie racontait ce soir :

- « Oui, Hans Olson est loin. Il lui est arrivé ce qu’il croyait et prêchait par ici, disant que bientôt, Jésus allait venir le chercher ».
- « Oui, répondit un autre, nous en avions aussi un pareil qui a été emporté. Mais maintenant les autorités vont bien prendre les choses en mains et interdire toute religion, afin que pareille chose ne se reproduise plus. »

- « Oh, non, s’écria un autre, cela n’arrivera plus jamais. Ils ont tout de même eu raison ces chrétiens, car ils avaient un pressentiment. Oh ! Si seulement nous les avions écoutés, nous serions maintenant dans une meilleure situation, au lieu de devoir vivre dans cet enfer, dans ce chaos. Et je crains que cela empire. »

- « Ah ! Si tu croyais en eux, pourquoi donc n’es-tu pas parti avec eux ? » lui rétorqua un autre.

- « Je souhaite bien d’avoir pu le faire ! » dit-il, puis il s’en alla.

Quelqu’un cria après lui : « On devrait te pendre ! Toi et tous ceux qui s’occupent de ce christianisme imbécile ! »

Le lendemain de ce jour, les journaux ne pouvaient encore donner l’explication à ce mystère. Les rapports de tous les pays concordaient. Des champs de mission, les nouvelles disaient que les chrétiens avaient disparu en masse. Seul un petit nombre d’entre eux était resté. Lors de l’assemblée convoquée le soir précédent, un bon nombre de pasteurs étaient présents, mais beaucoup avaient aussi été enlevés.

L’atmosphère était tendue et sombre, plusieurs se sentaient malheureux. Aucun doute ne subsistait quant à la nature de l’évènement : c’était l’Enlèvement des saints prédit par l’Écriture, l’élévation de l’Église-Épouse. Quelques pasteurs reconnaissaient que malgré leurs études théologiques, ils ne s’étaient pas imaginé l’évènement de cette manière. Ils n’avaient jamais expérimenté la nouvelle naissance, ni connu l’Esprit-Saint donné aux enfants de Dieu.

Un jeune pasteur disait : « Ce n’est pas de cette manière que j’ai été enseigné. Les professeurs ne nous ont jamais dit que cela arriverait comme nous venons de l’expérimenter ».

Les journalistes prétendaient qu’une forte tendance à la discussion se faisait jour, cependant, les gens étaient trop excités pour être objectifs. La police s’était adressé au public pour connaître le point de vue général, un rapport fut rédigé par les pasteurs et approuvé par la majorité. Il disait en substance : « Ce qui vient d’arriver pourrait être un évènement prédit par la Bible, qui est appelé “ l’Enlèvement de l’Épouse ”. Jésus serait venu chercher les Siens. Pour l’instant, c’est tout ce que nous pouvons dire ».

Pourtant la police ne voulait pas publier cette déclaration, estimant qu’elle était le fruit d’une imagination hystérique névrosée. Vu la portée de ces événements, elle estimait que le gouvernement devrait s’en occuper. Puisque la religion chrétienne était en rapport avec ces choses, elle demandait que toutes les églises et lieux de rassemblement religieux soient fermés jusqu’à ce que tout soit éclairci. Elle déclarait que c’était un problème qui touchait toutes les nations, de sorte qu’une décision commune devait être prise. Ce serait à l’ONU d’examiner cette question à fond. Les chrétiens semblent être très déprimés. Hier, qui était un dimanche, toutes les églises et salles du culte étaient bondées. Quelques églises se trouvaient démunies de pasteurs, et beaucoup de membres manquaient. Dans plusieurs assemblées, il ne restait que peu de croyants, mais par contre, un grand nombre de gens du dehors affluaient, principalement ceux qui avaient été frappés par « le grand malheur » comme on l’appelait généralement. Le peuple voulait entendre la parole de Dieu, mais c’était comme si elle avait été enlevée. Un homme essayait bien de lire, mais il devait y renoncer, disant : « Je n’y comprends rien ». Un autre, qui avait repris la Bible de ses mains disait : « Je ne peux lire la Bible ». D’autres pleuraient, mais la grande masse s’accordait à dire que les chrétiens devaient être la cause de ces événements tragiques et qu’ils devaient donner une explication valable.  Pourtant un grand nombre venait chercher le secours de Dieu. Ils étaient profondément malheureux.

Dans la plupart des assemblées, la confusion régnait. Un homme se leva, montrant du poing le pasteur et lui dit : « C’est de ta faute si tant des nôtres sont restés. Tu ne nous as jamais averti que Jésus allait bientôt venir chercher les Siens, et que nous devions nous réconcilier avec notre prochain et que nous devions avoir un cœur pur, rempli du Saint-Esprit. Je sais bien ce qui m’a retenu, ce ne sont que des peccadilles. Mais, mais … Seigneur, aide nous ! » Le pasteur qui estimait avoir fait son devoir lui disait de se taire, et tous s’accusaient mutuellement en pleurant et en criant. Ils frappaient, mais la porte demeurait fermée. Il est impossible de décrire la situation. Le peuple se rendait compte qu’ils marchaient tous au-devant d’un temps terrible. C’est comme si l’on sentait dans l’air que tout espoir avait disparu. La porte était fermée, et tous ceux qui s’étaient contentés d’expressions traditionnelles vides de sens se mettaient maintenant à crier et à frapper. Les uns étaient venus par camaraderie, les autres avaient été attirés par le chant ou la musique, mais aucun n’était né de nouveau. Ils n’avaient pas reçu l’Esprit d’adoption, ni un droit à l’héritage céleste. Pour beaucoup, la fréquentation des réunions n’était qu’un dada, un passe-temps intéressant, mais maintenant, ils frappaient tous à la porte fermée, disant :

 

- « Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! »


Le problème de l’Enlèvement n’avait pas préoccupé longtemps les gouvernements. Ils défendaient sous peine de mort de prononcer le Nom de Jésus. Ainsi commençait la plus horrible de toutes les époques de l’humanité. Un grand nombre de chrétiens qui continuaient à invoquer Dieu ne se soumirent pas à l’interdiction des autorités. Ils furent arrêtés et interrogés selon les méthodes de la Gestapo. On leur disait :

 

- « Si tu renies Jésus-Christ et que tu Le maudisses, tu peux sauver ta vie ».


Mais des milliers tinrent ferme et le massacre devint indescriptible. Plusieurs furent torturés terriblement, jusqu’à ce que mort s’ensuive. La loi et la justice n’existaient plus. Satan se déchaînait véritablement.

 

« Malheur à la terre, et à ceux qui l’habitent », disait l’Écriture.


Dans cette détresse plusieurs faiblirent et cédèrent. Ils ne savaient où s’enfuir car le monde entier se trouvait sous la domination du mal. Les nations étaient unanimes à vouloir l’extermination des chrétiens. Le prince de ce monde manifestait la puissance de son règne. Les enfants trahirent leurs parents de telle manière que la vie de ceux-ci était en danger. La parole de Luc 21:16 s’accomplissait :

« Vous serez livrés même par vos parents, par vos frères, par vos proches et par vos amis et ils feront mourir plusieurs d’entre vous. Vous serez haïs de tous, à cause de Mon Nom ».


Il est impossible de décrire les conditions de cette Tribulation, mais Dieu avait tout annoncé dans le livre de l’Apocalypse. Le grand cri de ces malheureux était :

 

- « Seigneur, veuille abréger ces jours ».


Cher ami, ne prends pas le risque de demeurer en arrière. Plie-toi devant la Face du Dieu Tout-Puissant et demande-Lui humblement Sa lumière et Sa grâce. Il est encore temps aujourd’hui d’être scellé par Jésus-Christ pour Lui appartenir en propre. Ainsi, tu seras prêt pour le jour où Il reviendra.

Auteur inconnu

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