Traducteur

mercredi 1 février 2012

Ce qui n'a pas été dit sur la saint Valentin ...


« Ne vous mettez pas sous un même joug avec les infidèles ; car qu'y a-t-il de commun entre la justice et l'iniquité ? et quelle union y a-t-il entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord entre CHRIST et bélial ? ou quelle part a le fidèle avec l'infidèle ? Et quel rapport entre le temple d' ÉLOHIM et les idoles ? Car vous êtes le temple de l'ÉLOHIM vivant, comme ÉLOHIM l'a dit : J'habiterai au milieu d'eux et J'y marcherai ; JE serai leur ÉLOHIM, et ils seront MON peuple. C'est pourquoi, sortez du milieu d'eux, et vous séparez, dit ADONAÏ, et ne touchez point à ce qui est impur, et JE vous recevrez ; Et JE serai votre ÉLOHIM, et vous serez MES fils et MES filles, dit l'ADONAÏ Tout- Puissant. » 2Corinthiens 6 : 14 à 18

« Et YAHUVEH vit que la malice de l'homme était grande sur la terre, et que toute l'imagination des pensées de son coeur n'était que mauvaise en tout temps. Et YAHUVEH se repentit d'avoir fait l'homme sur la terre, et IL en fut affligé dans SON coeur. » Genèse 6 : 5-6


« Le coeur est trompeur par-dessus tout, et désespérément malin ; qui le connaîtra ? MOI, YAHUVEH, JE sonde le coeur, et J'éprouve les reins ; et cela pour rendre à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses actions. » Jérémie 17 : 9-10


« Ils ont les yeux pleins d'adultère, et qui ne cessent de pécher ; ils amorcent les âmes mal affermies ; ils ont le coeur exercé à l'avarice ; ce sont des enfants de malédiction ... » 2Pierre 2 : 14

Dès l'origine, il s'agissait d'un culte babylonien rendu à baal, le dieu solaire de la fécondité, dont la représentation phallique est familière sous la forme d'obélisques, de pieux ou de pierres totem dressées. 

« [ ... ]  JE ME suis réservé sept mille hommes, qui n'ont point fléchi le genou devant baal. » Romains 11 : 4

On relève 111 occurrences du nom de baal dans les Écritures dont une seule dans le Nouveau-Testament.

Le mot " vaillant " traduit par " valens " en latin, l'origine du nom associé à " Valentin ", était tout à fait courant à Rome. Aux alentours de l'an 495, le pape Gelase 1er, a franchi le pas ainsi qu'un autre de ses successeurs, pour canoniser un Valentin et en faire un " saint " "patron" et un " protecteur " des amoureux. En anglais Valentin se traduisant par Valentine, le nom est valable autant pour un homme que pour une femme, d'où l'expression; " be my Valentine ! " c'est à dire " sois mon Valentin ! " ou " sois ma Valentine ! ". 

« Et ayant abandonné tous les commandements de YAHUVEH leur ADONAÏ, ils se firent des images de fonte, deux veaux ; ils firent des emblèmes d'ashéra, ils se prosternèrent devant toute l'armée des cieux, et ils servirent baal. » 2Rois 17 : 16

Actuellement à Rome, les idoles d'astarté (femme de baal) et l'obélisque dédié à baal sont présents ...

Obélisque dédié à baal, Place St-Pierre, Rome (Vatican)

Dans la Rome antique, le 14 février était la fête des Lupercales, c'est à dire le Festival de la sexualité (débridée) et de la fécondité en l'honneur de la déesse junon. Les prêtres revêtus de peaux de chèvres se livraient alors à une cérémonie orgiaque pour honorer le dieu-loup, dont Hitler était un fervent adepte au point de se flatter d'y être officiellement associé.

Ces prêtres étaient aussi liés à la commémoration de la prise en charge et l'allaitement par une louve de Rémus et Romulus, les fondateurs de Rome. Le site où se trouvait la grotte aurait été découvert, et identifié. Après avoir sacrifié un chien et des chèvres dans cette grotte et s'être aspergés de leur sang, les prêtres entammaient une course effrénée au pied du mont Palatin autour duquel des jeunes filles se positionnaient pour être attrappées et symboliquement frappées par les prêtres qui couraient en tenant une langue de chèvre trempée dans du sang canin et les assurer ainsi d'être fertiles.

À l'issue de cette cérémonie, au cours de laquelle une langue de chèvre, " Februa ", était " gravée " dans la roche (" Februa " est à l'origine de " February " en anglais, " Février " en français), les jeunes filles se réunissaient en ville pour aller déposer un " billet " avec leur nom dans une urne dans laquelle de jeunes hommes plongeaient la main pour en saisir un. De cette loterie suivie d'une journée de " liberté " sexuelle, dont la statue de la Liberté est la représentation fidèle, des couples étaient ainsi formés pour un an, jusqu'aux " ides " de février de l'année suivante.

Les jeunes filles devenaient donc des partenaires sexuelles car le mariage était mal considéré des empereurs, puisqu'il risquait de dissuader les hommes de partir à la guerre dans des contrées lointaines. Aux " ides " de mars, la nouvelle année était fêtée avec celle de l'équinoxe du printemps et une nouvelle nuit orgiaque y était célébrée par les nouveaux couples.

Vénus et cupidon étaient aussi associés à ces cultes accompagnés de cérémonies dont on retrouve de nombreuses représentations " angéliques " dans les plafonds de chambres et autres alcôves afin d'attirer les faveurs des dieux sur les hôtes de passage.

Le terme " cupide " voisin de désir est directement dérivé de " cupidon ", fils de vénus, qui est en fait " thamuz ", le fils de " sémiramis ", dont le culte est à l'origine de la fête totalement païenne de " noël ", dont la couleur dominante est aussi le rouge.

Cette cérémonie, fête de la fornication, avait été " édulcorée ", détournée et est finalement sacralisée par l'église catholique.



Sources : photo de l'obélisque et extraits mythologiques  

2 commentaires:

  1. Très bonne article soeurette QDTB bisous ! Paty

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  2. Merci de me lire, c'est tellement encourageant de recevoir des commentaires!

    Shalom xox

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